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4 janvier 2021

Notre héritage est là, entre vos mains,dans votre

Notre héritage est là, entre vos mains,dans votre reflexion et dans votre coeur, dans votre intelligence et votre sensibilité. Simone Veil "La captivité des soldats français de 1939-45 constitue un fait historique sans précédent dans les annales de l'humanité....
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23 juin 2023

Marguerite VACHEROT episode 3

Et voilà j'ai recu quelques documents sur le proces de Marguerite Vacherot!!

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Je ne vais pas vous faire le retranscription mais quelques lignes essentielles:

Cour d'Assises du département de la Côte d'Or, séant a Dijon, arreté rendu le 22 janvier 1852.

Marguerite vacherot, veuve de Philippe Desplantes, 38 ans, mère de 7 enfants, demeurant a Chous, 1m68, blonde, yeux gris, front découvert, nez gros, menton a fossette, visage plein, teint coloré...

Accusée dans la nuit du 25 au 26 novembre 1851 d'avoie donné la mort a l'enfant dont elle venait d'accoucher...

Le jury déclaraient l'accusée coupable avec des circonstances attenuantes(non précisé)...condamnée a 15 ans de travaux forcés...des frais envers l'Etat liquids a 49 francs trente cinq...

Fait jugé et prononcé a l'audience publique du 14 fevrier 1852.

19 juin 2023

Joseph Wozniak, mon arrière grand père...assassiné!

Cela fait très longtemps que je cherche des renseignements sur mon arrière grand pere paternel....la seule base que je possède (du aux actes de naissances des enfants) est son année de naissance ainsi que son lieu!! 1888 a Varsovie, Pologne. Vous n'imaginez même pas Comme le nom Wozniak est très, très rependu en Pologne....c'est pire qu'une aiguille dans une botte de foin!!!

Enfin bref...

Grace a l'acte de naissance de son fils, Joseph( ha,ha) et la reconnaissance de la mère en marge, j'ai pu déterminer qu'il séjournait en Meuse, a la caserne Meribel a Verdun... (l'émigration de travailleurs polonais après la première guerre mondiale, article a venir) entre 1922 et 1924...

Les archives de la Meuse de ces années ne sont pas en ligne.... zut...

Voyons  la presse alors...

BINGO!

Un décès de Joseph Wozniak a Verdun en 1924 (pourquoi pas?)

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 Bulletin Meusien en date du 22 novembre 1924

 

Remontons un peu...vérifions d'autres journaux....

Un article de presse du 13 novembre 1924 paru dans "l'Est Républicain"

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Ce que j'y relève:

Mon arrière grand mère: Buszalet Janina, 26 ans (1924-26=1898, ca colle) nom de famille très rare en France

le lieu aussi :caserne Meribel...

un autre article, trouvé dans le bulletin meusien du 22 novembre 1924:

2023-06-19

 

Et voilà mes découvertes du jour...maintenant je peux demander l'acte de décès, pour j'espere, obtenir plus sur sa naissance....

La question? mais ou étaient les enfants? 

27 mai 2023

Marguerite VACHEROT episode 2

Dans un de mes post précèdent, je vous parlait de Marguerite VACHEROT  condamné pour infanticide.

Suite a d'autres recherches, voici le complément de l'histoire:

Le 1er décembre 1851, le juge de paix se transporta au domicile de la dite Vacherot, suite a des rumeurs, et y trouva le corps d'un nouveau né:

2021-02-18

 

article du 2 décembre 1851 paru dans "le spectateur" Dijon.

Le 14 février 1852, La cour d'assise de la Cote d'Or la condamne a 15 ans de travaux forcés, déclaré coupable d'avoir volontairement donné la mort a un enfant nouveau né:

2023-05-27 (1)

 

article du 19 février 1852 paru dans "le spectateur" Dijon.

Le 02 juin 1852, elle fut détenue a la maison d'arrêt de Clairvaux, sous le numéro d'écrou 30087, sa peine aura débuté le 11 mars 1852 et devra se terminer le 10 mars 1867.

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Elle sera transférée à la maison centrale d'Auberive le 26 septembre 1858 ou elle y décèdera le 09 novembre 1860

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Les archives de la maison centrale d'Auberive ne sont pas en ligne, a ce jour, concernant le dossier de jugement, en attente de réception qu'une bonne âme charitable va me photographier aux AD de la Cote d'Or. Merci a Edith !!!

 

 

22 mai 2023

Henri PERRUCHOT

2023-05-22

 

Henri Perruchot est né le 27 janvier 1917 a Montceau les Mines et décédé le 17 février 1967 à Paris 4° arrondissement. Il sera inhumé le 23 février 1967 a Blanot.

 Célèbre écrivain qui retraçait l'histoire de la peinture française, il faisait revivre quelque 'uns des visages les plus fascinants tel que Manet, Van Gogh, Cézanne, Toulouse-Lautrec, Gauguin....

Suite a des recherches généalogiques, je me suis aperçu être la petite fille d'un cousin au 6° degré de Henri PERRUCHOT.

Remontons un peu dans l'histoire:

Ses parents: Jean Pierre Adrien PERRUCHOT et Jeanne Céline Lucie BERTRAND

Ses grands parents: Jean  PERRUCHOT et Anne GUENOT

Ses arrières grands parents: Claude PERRUCHOT et Louise DESPLANTES

 

En 1854 Claude PERRUCHOT  quitte Jonchères (Blanot) pour le moulin de la volère et épouse Louise DESPLANTES veuve GILLOT et c'est ses fils GILLOT (Pierre et Joseph) qui reprendront le moulin de 1881 à 1892.

Jean PERRUCHOT, le grand père racheta a son frère Emile la maison de jonchères où Henri résidait lors de ses séjours dans le Morvan, ce qui permit le retour de cette branche de la famille.

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Pour en savoir plus, je vous conseille de visiter le blog: les amis de la plaine , un excellent blog sur les activités de Blanot.

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3 juillet 2022

La grande vadrouille

BEAUNE, MEURSAULT 1966

Pendant plus d'une semaine, à la fin du printemps, Beaune et Meursault vivent au rythme du tournage d'un film réalisé par Gérard Oury, La grande vadrouille.

Leurs habitants ignorent qu'ils assistent au tournage d'un film qui va devenir mythique et qui sera vu par plus de dix sept millions de téléspectateurs.

L'équipe du film a débarqué à Beaune le 31 mai 1966, sans crier gare, à l'Hôtel-Dieu.

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Leurs camions et leurs voitures entourent les Hospices. Le régisseur a installé la popote sous les Halles, où les acteurs et les techniciens du film partagent leur repas.

Les hospices aux toits colorés sont ceux de Beaune. Lors du tournage en 1966, l'Hôtel-Dieu de Beaune est encore un hôpital en fonctionnement. La « Salle des Pôvres », dans laquelle les Anglais alités reçoivent la visite médicale de la Supérieure, est quant à elle fermée depuis octobre 1955. Les sœurs qui apparaissent dans le film portent le costume des sœurs hospitalières de Beaune et sont incarnées par des comédiennes. L'Hôtel-Dieu n'est véritablement un musée que depuis les années 1980, après le départ des derniers services hospitaliers en 1984.
Le transfert par brancards a été tourné dans la cour du musée du Vin de Bourgogne, rue d'Enfer à Beaune (extérieur, porte de grange et intérieur avec bouteilles).

Les Beaunois se précipitent pour essayer d'entrevoir leurs vedettes: André Bourvil et Louis de Funés.

D'autres se font engager comme figurants et arrivent a sympathiser avec les acteurs.

Un joyeux mélange de décontraction et de professionnalisme s'installe. On n'hésite pas à mettre une affiche sur la porte des Hospices de Beaune afin d'exiger le silence pour cause de tournage, ce qui derange les touristes.

Le 8 juin le tournage se poursuit a Meursault. 

La Kommandantur a été installée dans la mairie de Meursault qui était l'ancien château fort de Meursault.

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Photo  Par Arnaud 25 — Travail personnel

 

La ville est en état de siège. Les pompiers de Meursault sont sollicités pour simuler un incendie. Ils ont ressorti pour l'occasion les casques de cuivre de jadis et une vieille Renault. Le 10 juin, deux chevaux dévalent au galop à travers les rues de Meursault, traînant une charrette qui transporte des tonneaux où sont cachés des acteurs, jouant le rôle de parachutistes anglais déguisés en soldats allemands.

A la fin du tournage, Bourvil et De Funés, le duo phare du film, ont laissé un excellent souvenir. Sympathiques, ils ont su goûter aux plaisirs de la région, appréciant les bons vins et s'offrant même à l'occasion des parties de pêches.

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Source: Wikipédia, Marie Françoise Barbot, Hospices de Beaune...

 

2 juillet 2022

Ils poussent loin le bouchon

SAVIGNY-LES-BEAUNES, 1930

Certes, y a bien quelques dames patronnesses et quelques vieux bigots qui s'en offusquent, mais dans l'ensemble, les Côtes d'Oriens, en bon vivants qu'ils sont, en rient a gorges déployée, en découvrant en ce début 1930 l'appellation d'un nouveau mousseux.

"Ils poussent loin le bouchon" plaisantent-ils.

Jugez plutôt: afin de le promouvoir et d'attirer l'attention de la clientèle, les établissements "les grands vins Albert Brenot" de Savigny-les-beaune ont joué la carte de l'humour et n'ont pas hésité a baptiser en raison de son pétillant, le vin qu'ils viennent de mettre sur le marché "le redrescul"

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Cette plaque publicitaire est une reproduction d’une campagne pour le vin En Redrescul d’Albert Brenot. Ce Chardonnay blanc de la région de Beaune tire son appellation si particulière de sa vigne située sur une forte pente. Cette publicité vintage décalée s’amuse du nom de « Redrescul » et le prend dans un sens beaucoup plus littéral. Un chérubin est victime des facéties de ses petits compagnons : l’ouverture de la bouteille a envoyé un bouchon de liège sous pression sur ses fesses, le projetant en l’air !

 

Appellation viticole Savigny-Les-beaunes ICI

1 juillet 2022

Un mystérieux trésor

BLANOT, 1985

Le 08 décembre, la plus remarquable découverte, par la diversité et la variété de ses objets, faite en Bourgogne, en ce qui concerne la dernière période de l'âge de bronze est exposée au musée archéologique de Dijon, du moins en partie, car beaucoup de choses sont en cours de restauration a Versailles. Ce trésor trouvé à Blanot le 31 Décembre 1982 par Guy DESPLANTES, un jeune de 17 ans, qui l'a aperçu sous un bouleau déraciné par la tornade du 07 novembre dernier, avait été enfoui dans cette cachette de 80 cm de diamètre à 40 cm de profondeur, ce qui en soit est un mystère.

 

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Le « trésor de Blanot » disposé sur un mannequin, au Musée archéologique de Dijon. Le « trésor de Blanot » : En 1982, un orage ayant déraciné un arbre, on découvrit un riche dépôt d'objets de l' âge du bronze dont un chaudron renfermant l'habillement et les parures en or d'une femme. L'ensemble est exposé au Musée archéologique de Dijon.

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30 juin 2022

Un vieillard devant les assises

BLANOT, 1939

Le 21 novembre, les Assises de la Côte d'Or, jugent un prévenu âgé de 75 ans: François Ferroux, un fermier accusé d'avoir tué la veuve Gras une vieille dame, du même age, afin de lui dérober ses economies.

Au grand étonnement de la Cour et du Public, François Ferroux, se disant sourd, quitte sans cesse le banc des accusés pour se rapprocher du président, afin de mieux entendre les questions qu'il lui pose.

Personnage atypique et étonnant que ce grand vieillard qui à première vue peut apparaître balourd, mais que si on regarde de plus près ne manque pas de finesse.

Ainsi, quand une question l'embarrasse, il l'esquive habilement en évoquant la conduite héroïque qu'il avait eue pendant la première guerre mondiale.

Parfois, pourtant, il peut se reveler d'une bêtise crasse, en répondant sans réfléchir, ainsi quand le substitut lui demande pourquoi avoir volé les titres de la veuve Gras, il répond aussitôt que c'est pour toucher les 5000 francs au crédit Lyonnais, en finissant sa phrase par "pardi!"

Son avocat plaide "le coup de sang" ce que les témoins réfutent, décrivant François Ferroux comme un vieillard méchant et calculateur.

L'un deux affirme même qu'il a prémédité son geste. "Le François qui vit des rapines, m'a confié que la veuve Gras finirait brulé dans sa maison et que ce jour là, il serait riche.

François Ferroux, lui, explique sans ambages qu'il avait bu au moment des faits: "c'est l'alcool qui est responsable et qui m'a fait trucider la vieille"." et quand bien même" hurle l'accusation, en soulignant que ce n'est pas prouvé et insistant sur la sauvagerie sanglante du crime.

Les deux parties, accusation et défense, comme un écho régulier, demandent au jury de tenir compte du grand âge de l'accusé. Mais influencé par sa mauvaise réputation, le jury y reste sourd et le condamne à vingt ans de réclusion.

Marie Françoise BARDOT

29 juin 2022

154eme Régiment d'Artillerie de Grenoble

 

Mon grand père, Michel DESPLANTES, fut mobilisé le 08 juin 1940, au 154eme Régiment d'Artillerie de Grenoble et démobilisé le 01 septembre 1940 au péage de Vizille  (Isère)

 

Le 154e régiment d'artillerie est une unité de l' armée française. Il est créé en août 1919, en regroupant plusieurs batteries issues de divers régiments. Il est affecté à la défense des positions alpines et à ce titre participe à la Seconde Guerre mondiale en combattant l'invasion italienne de juin 1940. Il est dissout après l' Armistice de juin .

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DEVISE: Age Quod Agis ( fais bien ce que tu fais)

 

La période de Septembre 1939 à Juin 1940 est très calme, l'Italie n'étant pas entrée en guerre à ce moment. La période est mise à profit pour l'instruction du personnel (écoles de feu à Gap et au Lautaret), ainsi que pour la préparation des positions de batterie. En particulier la 6° Bie fait construire des abris en dur pour ses pièces de 280mm... par des travailleurs italiens, heureusement sans conséquences en termes de confidentialité de la position. Les quartiers d'hiver sont pris courant Novembre, en ne laissant que quelques batteries armées en altitude. Le dispositif normal est repris au printemps.



A partir du 10 Mai 1940, l'entrée en conflit actif entraine le renforcement des mesures de préparation.



- 10 Juin 1940 : l'Italie déclare la guerre à la France et l'Angleterre à 18h. Dans la nuit du 10 au 11 Juin les destructions routières et ferroviaires jouent après évacuation de la population civile frontalière.

- 11 au 15 Juin 1940 : L'armée italienne reste globalement sur la défensive. Quelques incidents de frontière à noter, sans conséquences.

- 16 au 18 Juin 1940 : les italiens se préparent à passer à l'offensive, profitant de l'effondrement du front Nord face aux allemands. Les première reconnaissances offensives se déroulent sur les cols des Alpes. Dans le Briançonnais, les Acles sont visés en premier.

Ailleurs : Le 18 Juin, les avant-gardes allemandes arrivent à Boug en Bresse et Macon. Lyon est déclarée ville ouverte, occupée dés le 19.

- 20 Juin 1940 : regain d'activité italienne, suite à l'ordre formel d'attaque donné par Mussolini.

- 21 Juin 1940 : A 6h du matin, les troupes italiennes s'élancent sur le col du Montgenèvre et les cols Chabaud, Bousson et Gimond (Cerveyrett). Elles sont accueillies par un feu nourri du 154° RAP.

Les pièces de 280mm de la section FOULETIER de la 6° Batterie ouvrent le feu sur le fort du Chaberton peu après 10h. Le réglage progressif des deux pièces de la section, puis de celles du Lt RIGAUD entrainent une montée en puissance du bombardement de l'ouvrage à partir de 15h30, interrompu périodiquement par la couverture nuageuse. La première tourelle est détruite à 17h15, suivie de deux autres (3° et 5°) dans le quart d'heure suivant. Après 57 coups tirés, 6 des 8 tourelles de 149mm de l'ouvrage sont détruites ou neutralisées, ainsi que son observatoire.

- 22 Juin 1940 : reprise de quelques tirs des 280mm de la 6° Bie (Son FOULETIER) à partir de 9h sur le Chaberton. Comme la veille, l'attaque principale de l'infanterie italienne sur le col du Montgenèvre échoue sous le feu d'artillerie et d'infanterie. L'attaque vers le PA du bois de Sestrière est bloquée avec l'appui des 65mm M du 4°Bie/II/154° RAP installés à Malafosse. Les italiens franchissant le col Chabaud sont eux aussi pris à partie à partir de la Lauzette. Les mortiers de 220mm et de 280mm (Son RIGAUD) tirent sur la route de Cesana pour interdire tout repli et ravitaillement italien. Les 65mm M de leur côté protègent les points d'appui et les concentrations observées entre ces deux extrêmes sont traitées par tirs fusants.

- 23 Juin 1940 : les deux dernières tourelles du Chaberton - 7 et 8 - tirent toujours sporadiquement. Quatorze coups de 280mm sont envoyés, sans que le résultat ne puisse être observé clairement. Les attaques italiennes vers le PA du Rocher de 10 Heures sont repoussées avec l'aide de l'artillerie, qui ne peut cependant empêcher la chute de l'AP du CHENAILLET en fin d'après-midi.

- 24 Juin 1940 : 24 coups sont encore tirés sur le Chaberton, sans résultat tangible supplémentaire. La situation au niveau du col est une répétition des jours précédents : attaque en force italienne (nouvelle division "Legnano") repoussée avec l'aide des pièces légères de montagne, pendant que les pièces lourdes se chargent de l'arrière du dispositif italien.

Dans la soirée, l'artillerie repousse violemment une incursion par le col des Acles. Plus tard, l'ensemble des pièces effectuent un tir à volonté pour vider les réserves à l'approche de l'armistice.

- 25 Juin 1940 : L'armistice entre en vigueur. Malgré cela le village de Montgenèvre est occupé sans combattre par les italiens. Les discussions d'après combat entre les belligérants montrent l'impression forte faite par l'artillerie française sur les assaillants.

- Juillet 1940 : les pièces sont progressivement retirées de leurs positions et ramenées en parc d'artillerie à Gap, au-delà de la ligne démilitarisée des 50 km imposée par les conditions d'armistice avec l'Italie. Le mortiers lourds sont eux descendus à Briançon puis évacués. Courant Juillet, seules 3 batteries (une par groupe) restent en place à Briançon.

- 2-6 Aout 1940 : Le 154° RAP est officiellement dissous.

source:  Jean-Michel Jolas

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L'étendard du régiment porte les inscriptions suivantes :

  • Saint-Jean-d'Acre 1799
  • Girone 1809
  • Sébastopol 1854-1855
  • Oajaca 1865 
  • Verdun 1916
  • La Malmaison 1917
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